oh non....quelle douleur....encore un gars trop "blitz" qui part...visage angelique à la JC, comme jadis George Harrison ou Jerry Garcia , Rick Wright abandonne les claviers du "Floyd" comme on dit, pour cause de "saleté de crabe".....soupirs....
Quand on a fait partie d'un groupe aussi légendaire , entendu au moins une fois par tout les enfants de la planète entre 7 et 77 ans, ne serait ce que par le biais de "another brick in the wall" ou le tic tic incroyable de "time" sur Dark side of the moon, Ricky requiert simplement et naturellement l'hommage essentiel dû à sa condition de musicien, et de gars très cool d'après ce qu'on pouvait entendre de la part de "Vox Populi".
Comme souvent dans les groupes de résonnance mondiale (stones, who, beatles & C°), les discrètes chevilles ouvrières qu'étaient Bill Wyman, John Entwistle et Ringo Starr, s'étaient fendus à un moment donné d'efforts solos, ce qui leur laissait la possibillité de s'exprimer "hoc solo"...
A tenter de ré-ecouter donc, ces 3 albums de Rick Wright pondus au milieu de l'imposante "disco" de PinK Floyd (wet dream, identity et broken china , fin années 70 et début eighties..)
ET "pouis".................s'il y a bien des morceaux ou les claviers de Mr Wright sont conséquents dans les morceaux "du Floyd", un retient mon attention précisément, et fait donc l'objet d'une recommandation appuyée pour souvenir: "echoes", face A de "Meddle"....Epoustouflant...Hi Rick! that's all folk.....
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