vendredi 20 novembre 2009

31 ans plus tard, une suite qui fait saliver....



Ce pourrait bien être une divine curiosité que ce MAD MAX 4, dont on fait plus que de parler...qui bruisse et qui bruisse....23 ans et quelques après le 3ème volet (le dôme du Tonnerre avec Tina Turner et Le merveilleux "Dacier", joué par le chanteur du groupe australien Rose tattoo, j'ai nommé Angry Anderson, l" "road warrior", reparti vers un ultime exil post apocalypse est sur le point de revenir faire face aux hordes "cyber-préhistoriques" à la recherche cette fois, de sang humain pour faire fonctionner leurs machines !!!! (sic, infos lues sur la toile...)

En tout cas, le souvenir est bel et bien là, d'un incroyable cinéma qu'avait inventé Georges Miller, talentueux réal australien, poursuites invraisemblables sur les routes sans fin du continent australien, galeries de personnages tous plus caustiques et furieux les uns que les autres dans les 3 épisodes : l'aigle de la route, le chirurgien, Boubazanetti, Le Gorille, Johnny Beau gosse et puis Hummungus, dieu de guerre, à la tête de ses "chiens iroquois", armés d'arbalètes miniatures et autres armes pour le moins originales, enflammés et menés de vociférations incroyable par l'hystérique WEZ, le minty boy.....
Le tryptique avait fait très fort en son temps, mélangeant une fiction post apocalypse avec une philosophie nous faisant revenir à l'âge de pierre, autour d'un sujet, d'un débat, qui semblait si préoccupant à l'époque: manquerons nous d'essence ? et l'homme se mettra t'il en guerre et en chasse contre ses propres pairs au seul fin de conquête ? la question était posée surtout dans le deuxième volet.....En tout cas, rêvons, gageons qu'avec ou sans Mel Gibson, un des personnages héroïques phares des 30 dernières années nous revienne, le temps d'une jouissive apocalypse cinématographique d'1h40, çà nous irait tout à fait...

lundi 2 novembre 2009

2 Novembre 1979, Porte de Clignancourt.....carton autorisé...


Il y a 30 ans déjà.............pfffff, accompagné de Sylvia Jean Jacquot, Jacques Mesrine meurt sous les balles de la Police Française, dirigée à l'époque par les commissaires Broussard et Aimé Blanc....le débat n'a jamais cessé autour de ce personnage entré dans l'histoire via ses braquages , enlèvements et autres "happenings" de haute volée...plusieurs débats en fait, sur les QHS, sur la vien prison de façon générale et sur la façon dans a été organisé le "guet apens" de la porte de Clignancourt, car s'il y a une chose sûre et certaine, historiquement parlant, c'est que ce jour là, "le grand" n'avait AUCUNE chance d'en sortir vivant....
hommage quand même à un personnage qui ne laisse pas indifférent, car on a tous aimé un jour via le cinéma , la BD, la lttérature ces gens appelés "bandits" , "hors la loi", desperados, etc...car c'est simplement dans la nature humains.....