Quelle coïncidence et quel symbole que de voir "partir" le grand Soljénitsyne le jour anniversaire de l'abolition des privilèges (4 aôut 1792 pour les étourdi(e)s..)
Ivan Dessinovitch Choukov ne partagera plus de moments de survie avec César , au long d'une de ces interminables journées de Calvaire dans le camp Kazakh ou tentent de survivre de simples êtres humains, sans grades, mais juste épris de liberté...d'expression ?
C'est un vrai focus sur les "limites du genre humain", avec cette capacité de résistance qui caractérise l'homme, lorsqu'il cotoie la souffrance, ses propres limites, l'irréel...lorsqu'il est en pleine action de sa résistance mentale et physique...
Une idée....sauf son respect, la lettre de Guy Moquet est sympathique....mais la lecture d'une journée d'Ivan Dessinovitch Choukov apporterait bien plus en terme d'humanité , de respect et de compréhension du monde dans lequel nous vivons à nous adultes, et bien sûr à nos enfants, et pourquoi pas , à tous les enfants du monde !
L'homme s'en est allé, l'oeuvre demeure, et le temps passe inéxorablement....au revoir Sasha le grand !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire